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À propos...

Homme de théâtre et comédien accompli, Carl Béchard

est une figure incontournable dans le paysage théâtral québécois.  À chacune de ses apparitions sur scène, il surprend et fascine par sa rigueur pataphysique, sa folie contagieuse et sa gestuelle ubuesque.

Virtuose bien connu des planches, sa charismatique présence cinématographique fut agréablement remarquée dans Le prétendu Kaspar Haüser,  court-métrage surréaliste de Fabrice Laroche Francoeur.

 

 

 

 

 

 

 

 

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Carl Béchard

QUELQUES EXTRAITS DE CRITIQUES

 

 

 

 

 

« Monsieur Chasse ! :  Monsieur Béchard ! »

« La mise en scène alerte de Denise Filiatrault et, surtout, le jeu des comédiens [...], dont l'incomparable Carl Béchard, font rire du début à la fin.

Grand comique, Carl Béchard déploie une gestuelle, des mimiques et une énergie à couper le souffle.  Il vole littéralement le spectacle à chacune de ses présences sur scène [...]. »

 

- Mario Cloutier, La Presse, 20 septembre 2015

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« Carl Béchard compose un superbe détective Fix à la fois élégant, charmeur et retors.  Il offre un grand numéro d’acteur. »

 

- Olivier Dumas, Mon Théâtre.qc.ca  (Le Tour du monde en 80 jours)

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« [...] l’inénarrable Carl Béchard qui déclenche le rire de la salle à chaque réplique [...]. »

 

- Luc Boulanger, La Presse  (Le Tour du monde en 80 jours)

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« [...] avec la délicieuse caricature de Trissotin débarquant en Vespa, poseur maniéré et risible interprété par l’irrésistible Carl Béchard […]. » 

 

- Elsa Pépin, Voir  (Les Femmes savantes)

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« [...] et, bien sûr, un Trissotin pas triste : Carl Béchard, irrésistible. »

 

- Fabienne Large, Le Monde  

(Les Femmes savantes, présenté au Château de Grignan, Provence)

 

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« Carl Béchard donne au diabolique Trissotin une sacrée allure.  Sa chorégraphie pédante sur des vers qu’il fait mine d’avoir inventés est d’anthologie. »

- Joël Audran,  Le Dauphiné Libéré  (Les Femmes savantes)

 

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« [...] on assistera à quelques scènes fortes et désopilantes, comme cette partie du ping-pong entre Carl Béchard et Bruno Marcil. »

 

 - Luc Boulanger, La Presse  (Les Diablogues)

« (...) un certain je-ne-sais-quoi

qui fait que l'on se pâme ! »

- Les Femmes savantes, Molière

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